Peut-on croire en Dieu et ne pas pratiquer la religion ?



Hervé, 60 ans, s’interroge : « Peut-on avoir la Foi en Dieu, être croyant et ne pas pratiquer la religion ? » C’est le père Philippe Néouze qui lui répond. Vous pouvez envoyer vos questions à pourquoipadre@ktotv.com.

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13 réflexions sur “Peut-on croire en Dieu et ne pas pratiquer la religion ?”

  1. Pere Bonsoir je suis pas d accord sur votre texte croire sans religion pas possible pourquoi car dans la seul religion de dieu éternel on lis la parole du christ jésus on peut pas inventé puisque jésus seul connaît la vérité pour aller vers jesus faut passer par les sacrements de l église sainte et avec l esprit saint nous guide dans la sainte écriture trinitaire amen 🙏❤ le 13 /10/2023

  2. Merci padre ! Je dirais aussi a celui qui vous questionne, que j’ai aussi pendant quelques années
    , abandonné la pratique religieuse. Heureuse de mon rapport a Jésus et m’en suffisant mais j’ai rencontré Maria Valtorta et Luisa Picarreta et ça a changé complètement ma vie et ma vision de la messe j’ai enfin compris QUI m’

    attendait et je suis si heureuse maintenant de l’y rejoindre …vous devinez QUI ❤évidemment 😊

  3. Pendant dix ans, j'ai été très pratiquant, très impliqué dans ma paroisse, mon diocèse, l´Église… Mais, depuis plus de vingt ans, je ne pratique plus. Pourquoi? Parce que je fais partie de celles et ceux que l´Église ne sait pas accueillir tels qu'ils sont, qu´elle juge, pointe du doigt, ostracise moralement. Combien sommes-nous? Alors, en conscience, non, je ne rejoins pas l´entre soi des gens bien comme il faut sur le papier 🙂 Je vous laisse entre gens persuadés d´avoir raison, d´être mieux que tels ou tels. Et puis, soyons sincères, la plupart du temps on s´emmerde royalement à la Messe, tissu de rites, de formules, de concepts compliqués et sous vide, abscons, désincarnés (que je comprends pourtant car initié). On peine souvent à y voir le lien avec notre vie, notre réalité incarnée. Où est Dieu dans ces montagnes de mots?! L´un de mes amis pratiquant me confie souvent regretter le manque de fraternité, de chaleur dans sa paroisse. Malgré tout, reste la Foi en Dieu, le goût de parcourir l´Évangile, de prier la Liturgie des Heures, de continuer à suivre le Christ à ma façon… et quelques fois de regarder Kto 😉 Je pense que la Foi est ce qui reste quand on a tout perdu, quand on est revenu de toutes les déceptions, de tous les déserts… N´est-ce pas assez biblique comme expérience? La Paix soit avec vous!

  4. Je voudrais partager quelques versets du Coran s'adressant aux Gens de l'Ecriture (c'est-à-dire les Juifs et/ou les Chrétiens) : Traduction française du Coran, Chapitre 4 versets 153 – 175

    153 Les Gens du Livre te demandent de faire descendre sur eux un livre du ciel. Leurs ancêtres se sont montrés plus insolents encore en demandant à Moïse : « Fais en sorte que nous voyions Dieu de nos propres yeux. » Ils furent donc foudroyés pour prix de leur iniquité. Puis, malgré tous les signes dont ils ont été témoins, ils ont adoré le Veau, ce que Nous leur avons pardonné. Et Nous avons permis à Moïse de produire des miracles éclatants.

    154 Dressant le Mont au-dessus des Hébreux, Nous avons contracté l’Alliance avec eux. Nous leur avons ordonné de franchir la porte en toute humilité et défendu de transgresser le shabbat, prenant d’eux un engagement solennel.

    155 Nous les avons ensuite maudits pour avoir violé leur engagement, renié les signes de Dieu, tué injustement les prophètes et affirmé : « Nos coeurs sont imperméables à la foi. » C’est plutôt que Dieu a apposé un sceau sur leurs coeurs pour prix de leur impiété, si bien qu’ils sont peu disposés à croire.

    156 Nous les avons aussi maudits parce qu’ils ont rejeté la foi, inventé contre Marie une infâme calomnie

    157 et prétendu avoir tué le Messie, Jésus fils de Marie, le Messager de Dieu. Or, ils ne l’ont ni tué, ni crucifié, mais furent seulement le jouet d’une illusion1. Tous ceux qui se sont opposés à ce sujet sont en réalité dans l’incertitude la plus totale, formulant de simples suppositions. Ils ne l’ont certainement pas tué,

    158 mais Dieu l’a élevé vers Lui. Dieu est Tout-Puissant et infiniment Sage.

    159 Il n’est personne, parmi les gens du Livre, qui ne croira en Jésus avant sa mort2. Et le Jour de la résurrection, il témoignera contre eux.

    160 Pour prix de leur iniquité, Nous avons interdit aux juifs les nourritures pures et saines qui leur étaient jusque-là autorisées, mais aussi pour n’avoir cessé de détourner les hommes de Notre voie,

    161 avoir pratiqué l’usure, qui leur était pourtant défendue, et s’être emparés injustement des biens d’autrui. Nous avons donc préparé à ceux d’entre eux qui ont rejeté la foi un douloureux châtiment.

    162 Quant à ceux, parmi eux, qui sont versés dans la religion et ceux qui ont la foi, ils croient au Livre qui t’a été révélé et aux Ecritures révélées avant toi, accomplissant la prière, s’acquittant de l’aumône et croyant en Dieu et au Jour dernier. A ceux-là, Nous accorderons une immense récompense.

    163 Nous t’avons confié la Révélation comme nous l’avons confiée à Noé et aux prophètes qui lui ont succédé. Nous l’avons confiée à Abraham, Ismaël, Isaac, Jacob, aux fils d’Israël, à Jésus, Job, Jonas, Aaron et Salomon. Et, à David, Nous avons donné les Psaumes.

    164 Il est des Messagers dont Nous t’avons fait le récit et d’autres dont Nous ne t’avons pas fait mention. Dieu a bel et bien parlé à Moïse.

    165 Des Messagers chargés d’annoncer aux hommes la bonne nouvelle et de les mettre en garde. Ces derniers n’auront ainsi aucun argument à opposer à Dieu après l’envoi des Messagers. Dieu est Tout-Puissant et infiniment Sage.

    166 Dieu témoigne de l’authenticité du Livre qu’Il t’a révélé avec le message de vérité1. Les anges aussi en témoignent, mais Dieu est un témoin amplement suffisant.

    167 Ceux qui rejettent la foi et détournent les hommes de la voie de Dieu se sont gravement écartés de la vérité.

    168 Ceux qui rejettent injustement la foi, Dieu ne saurait leur pardonner et les mettre sur la bonne voie.

    169 Il les placera, au contraire, sur la voie de la Géhenne où ils demeureront à jamais, chose des plus aisées pour Dieu.

    170 Ô hommes ! Le Messager vous a apporté la vérité de la part de votre Seigneur. Croyez donc en lui pour votre plus grand bien. Si vous préférez rejeter la foi, sachez que tout ce qui se trouve dans les cieux et sur la terre appartient à Dieu qui est Omniscient et infiniment Sage.

    171 Chrétiens ! Ne soyez pas excessifs dans vos croyances1. Ne dites sur Dieu que la vérité. Le Messie, Jésus fils de Marie, n’est que le Messager de Dieu, Son verbe qu’Il a projeté en Marie2 et un esprit émanant de Lui3. Croyez donc en l’unicité de Dieu et en Ses Messagers. Cessez de parler de trinité, cela est bien mieux pour vous. Dieu est un dieu unique. Etant le Maître des cieux et de la terre, Il est trop glorieux et trop saint pour avoir un fils. Et Il n’a besoin de personne pour diriger la Création.

    172 Le Messie ne trouvera jamais indigne d’être le serviteur de Dieu, pas plus que les anges rapprochés. Quant à ceux qui, par orgueil, trouvent indigne d’adorer Dieu, Il les rassemblera tous vers Lui.

    173 A ceux qui auront cru et accompli de bonnes oeuvres, Il accordera leur entière récompense et leur ajoutera même de Ses faveurs. Quant à ceux qui auront refusé, par orgueil, de se soumettre à Lui, Il les châtiera douloureusement, sans qu’ils puissent trouver contre Son châtiment ni soutien, ni protecteur.

    174 Ô hommes ! Des preuves certaines1 vous ont été apportées de la part de votre Seigneur qui a fait descendre sur vous une lumière éclatante2.

    175 Ceux donc qui croient en Dieu, s’attachent fermement à Sa religion et s’en remettent entièrement à Lui seront admis dans Sa grâce, comblés de Ses faveurs et guidés vers le droit chemin menant au Seigneur.

  5. Qui est comme Dieu ? – en hébreu Mi ka el : telle est la question éternellement posée par le nom du prince des anges. Qui est comme Dieu ? C'est le défi jeté à la face de Satan, de l'ange porteur de lumière déchu par son refus d'obéissance : « non serviam » – je ne servirai pas, avait dit Satan. Qui est comme Dieu ? répond Michel. C'est la reconnaissance de notre dépendance absolue à l'égard du Créateur et Sauveur, principe premier et fin de tout être visible et invisible, c'est la vertu de religion.

    Religion, pour saint Thomas d'Aquin cela peut vouloir dire soit relire – l'étude amoureuse des choses de Dieu, soit relier –  la recherche d'un attachement fondamental, soit ré-élire – une résolution active. La religion, c'est le devoir de justice envers celui dont nous sommes les débiteurs insolvables : un dévouement attentif à Dieu qui s'efforce de lui rendre ce que nous lui devons.

    Créés corps et âmes, nous devons rendre justice à notre Créateur et Sauveur en lui manifestant intérieurement et extérieurement que nous avons tout reçu et dépendons radicalement de lui. Qui prendre pour modèle ? Quel meilleur exemple que le prince des anges ?

    De saint Michel, l'ange chevalier et cuirassé, nous apprenons la religion, un dévouement amoureux qui n'est pas celui de l'esclave ou du mercenaire mais de l'enfant. Le chevalier passait à genoux la nuit précédant son adoubement, il faisait ensuite serment de servir les plus faibles. La vraie religion, c'est de se tenir humblement devant Dieu, car l'homme n'est jamais aussi grand que lorsqu'il est à genoux. La vraie religion, ajoute la lettre de saint Jacques, c'est de servir Dieu dans les pauvres.

    Voilà ce que nous voulons apprendre durant cette neuvaine, à l'école de saint Michel : nous jeter au pieds du Seigneur, tendre vers lui nos mains d'enfants, élever notre regard vers le ciel, attendant tout don et tout bienfait de notre Père, et répéter avec l'archange le cri de notre admiration : qui est comme Dieu ?

    Qui est comme vous, Seigneur, qui vous révélez à la fois comme Créateur et comme Sauveur, comme principe, origine de tout bien et source de tout être, et comme fin, but ultime et bonheur parfait de toute créature ? Notre grand Dieu se fait connaître aussi comme un Père aimant, proche et disponible, une oreille attentive à chaque prière, un coeur compatissant à chaque détresse. En entrant avec saint Michel dans l'esprit de la vertu de religion, nous réapprenons que nous vous devons tout, et que nous pouvons cependant encore tout vous demander, puisque votre volonté est de faire notre bonheur. En rendant à Dieu ce qui lui est dû, nous suivons saint Michel sur le chemin de la vraie joie, celle de l'enfant qui adhère librement et pleinement à la volonté de son Père. 

    Comme saint Michel, toute créature intelligente a le devoir de manifester sa reconnaissance envers Dieu, principe premier et fin ultime de tout être, car elle dépend entièrement et radicalement de lui, et perçoit qu'elle ne trouvera son bonheur qu'en lui. Ce devoir ne cesse pas après le péché originel, mais l'homme perd son aptitude à rendre un culte adéquat, puisqu'il a irrémédiablement faussé sa relation au Créateur. L'homme persiste et s'efforce de rendre ce devoir de justice, qui lui incombe en vertu de sa nature propre de créature rationnelle, capable de réflexion.

    Cette exigence native se manifeste par la religion naturelle : toutes les sociétés ont essayé de manifester à Dieu leur reconnaissance par des gestes et des rites exprimant leur révérence à son égard. Après le péché, qui avait intimement détourné la volonté humaine de son Créateur, ces tentatives étaient désespérées, souvent maladroites et faussées, jusqu'aux pires perversions. Il fallut donc que la religion soit sauvée en étant surnaturalisée par le Christ.

    Telle est la nouveauté primordiale de la religion chrétienne : elle est essentiellement surnaturelle. Le destinataire de la vraie religion n'est pas une idée commune de divinité, une vague idée de Créateur et maître de l'Univers, un grand horloger, mais un Dieu personnel qui se fait connaître à nous par l'Ecriture Sainte, qui s'approche de notre coeur par l'Incarnation du Fils, qui continue de nous parler et de nous toucher par l'Eglise et les sacrements, un Dieu Père et ami, présent au plus intime de notre âme par la grâce, qui nous appelle sans relâche à l'y rejoindre et nous attend dans le silence de la prière intérieure.

    Qu'est-ce qui qualifie un acte de culte, une religion elle-même ? C'est bien son terme, son but, c'est-à-dire la personne à laquelle on se rapporte. Il peut y avoir une habitude religieuse chez le bouddhiste, l'animiste, le musulman, mais le vrai Dieu auquel s'adresse notre religion qualifie notre culte et le spécifie en propre par ses attributs révélés. On peut certes rapprocher la religion naturelle du païen de la religion surnaturelle du chrétien, mais elles demeurent essentiellement différentes.

    Alors notre religion est-elle à la hauteur de cette vocation surnaturelle ? Que sommes-nous prêts à consacrer à Dieu, quelle place lui laissons-nous dans notre vie ? Comment répondons-nous à l'appel aimant et insistant du Seigneur qui nous a faits et nous a sauvés au prix de sa propre vie ? Nous rapportons-nous à lui comme à un être lointain et distant ou comme à un Père capable de comprendre nos misères et de venir les guérir, jusqu'à nous donner son Fils bien-aimé pour que par lui le monde soit sauvé ? 

    Au Pharaon qui retenait les Hébreux en esclavage Dieu dit, par la bouche de Moïse : Israël est mon fils premier-né, laisse partir mon fils afin qu'il me serve !

    Nous avons distingué hier entre la religion qui est naturelle à tout homme et la religion surnaturelle, propre au chrétien, qui nous relie à un Dieu personnel et révélé, présent à nous dans les sacrements, l'Ecriture Sainte et la prière. Cette distinction nous permet de comprendre que la vertu de religion n'est pas une vertu d'esclave mais de fils et d'ami, pas un service de servitude mais d'amour.

    La religion a pour terme Dieu, principe premier et fin ultime de tout l'ordre créé. Elle se fonde ainsi sur notre dépendance à son égard, et sur la reconnaissance que nous devons lui manifester. Nous dépendons bien sûr du Créateur pour notre être physique ; mais nous dépendons surtout de lui par un mystérieux et profond être d'amour. Je dépends de Dieu comme une oeuvre ne peut être sans son artiste, mais aussi comme un amoureux dépend de l'élu de son coeur, je ne peux pas être sans lui. Cette dépendance n'est pas une corde au cou mais un cordon ombilical, un véritable pipeline qui nous met en relation permanente avec lui. En effet, cette dépendance se fonde sur l'excellence du premier principe et fin ultime de tout être : ce Dieu dont le nom le plus propre n'est pas dominateur ou tout-puissant, mais “amour”. “Dieu est amour,” dit saint Jean, et qui demeure dans l'amour, demeure en lui.

    Ma connexion vitale à Dieu se fait par l'amour, mon union à lui se fait dans l'amour. Et quel est le but véritable de la vertu de religion, sinon l'union à ce Dieu qui est amour et don de soi infini ?

    La religion n'est donc pas seulement une affaire de justice – comment le pourrait-elle, puisque nous ne pourrons jamais traiter avec Dieu sur un pied d'égalité ? Elle est aussi une affaire de charité : l'offrande qui manifeste à Dieu notre reconnaissance, l'acte de culte, procède de l'amour et exprime l'amour. Il ne s'agit pas seulement de régler une dette – puisque nous sommes insolvables, mais de répéter inlassablement notre amour, de remercier, de répondre par un regard aimant au regard de bienveillance infini éternellement posé sur nous.

    “Non serviam” : je ne servirai pas. Tel est le mot de Lucifer, le péché de Satan, l'opposé absolu du cri de saint Michel : qui est comme Dieu. Ce que le diable rejette, ce n'est pas seulement le service, la justice qu'il devrait rendre à Dieu de sa propre existence en accomplissant sa mission, c'est la gratuité d'amour que le Seigneur demande à sa liberté, en réponse à la gratuité d'amour manifestée dans la proposition de son amitié.

    Mon Dieu dont l'amour est pure gratuité, don infini et sans retour : donnez-moi de vous dévouer toute ma vie comme un devoir de religion, comme saint Michel et ses anges. Donnez-moi de vous chercher comme un fils, comme un ami. Comme le cerf altéré désire la source des eaux vives, ainsi mon âme espère en vous, mon Dieu (Ps 41, 2). Même si une femme pouvait oublier ses enfants, moi je ne vous oublierai pas, petit peuple, répond le Père tout-puissant (Is 49, 15).

    Dans le Jardin d'Eden, Adam et Ève peuvent manger des fruits de tous les arbres, sauf de celui de la connaissance du bien et du mal. Ainsi se manifeste le culte rendu à Dieu.
    C'est alors qu'apparaît Satan pour tenter nos premiers parents, et les pousser à désobéir à Dieu. Celui qui a désobéi veut emporter les hommes dans son malheur. Il veut nous éloigner de ce pour quoi nous sommes faits.

    Depuis la chute, jusqu'à la venue de Jésus, les hommes sont éduqués, lentement, délicatement, par Dieu, afin de devenir aptes à recevoir le Messie, à rendre à nouveau à Dieu un culte acceptable.

  6. Vivre en Jesus qu'avez vous pas compris.
    Etre comme lui dans l'exemple
    Car il ete contraire au systeme
    Et sa mort vous a fait peur.
    Le nom du nombre c'est la bete
    Et en soit l'humanite suit l'exemple du peuple sacrificateur.
    Alors quil fallait se sacrifié nous meme non pas dans la mort reel mais sinificative celle contre les plaisir de ce monde.
    Les 7 peches capitaux.
    Aller debout c'est l'heure
    Il arrive 🔥🔥🔥🔥🙏🔥🔥🔥🔥

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