Au coeur de l’histoire: Attila, le fléau de Dieu (Franck Ferrand)



Franck Ferrand nous parle aujourd’hui du terrifiant Attila, le plus effrayant des grands envahisseurs.

Celui que l’on surnomme, traditionnellement, le « fléau de Dieu » ou le « dévastateur de l’Europe » – nous verrons si ces lieux communs ont une raison d’être.

Son invité:

Michel Rouche, Historien.

Source

43 réflexions sur “Au coeur de l’histoire: Attila, le fléau de Dieu (Franck Ferrand)”

  1. Et moi j' écoute cette émission le 11 avril 2024, jour de la fête du Pape Saint Léon, sans l'avoir fait exprès. Le Bon Dieu a de l' humour…

  2. Vive l Histoire. J en profite pour rendre hommage à mon instituteur de CM1, Monsieur SERJEANT lequel a donné l essentiel de ma culture générale. Comme cette anecdote, qd François premier prisonnier Charles Quint.à la bataille Pavie pour éviter de le saluer lors du repas en franchissant la porte murée, il entrant en montrant son postérieur.

  3. Drôle quasiment…20 ans de pouvoir… pour Attila….Soyons honnêtes"… Je n'arrive pas à comprendre … Les Francs…et autres peuplades germaniques… pendant des décennies… ont été beaucoup plus redoutables..!.. il faut croire que le barbare asiatique est toujours… plus "séduisant" que le barbare germanique…🤗😁🤯… c'est tout dire de l'époque actuelle….. J'aime cette émission et je ne l'aime pas …!…et, si, il y a une préférence … c'est celle pour Clovis…😵👍🤗 avec Clotilde et Geneviève… Ils ont fait la FRANCE….👍🤗🇫🇷❤️

  4. Monsieur Ferrand…, je vous apprécie…mais , Attila n'est pas l'exterminateur de nos ancêtres Germaniques… Dieu Merci…le Terrible Attila… n'est pas nôtre ancêtre l'autre… "Barbare"…Clodovicus… CLOVIS a pris le pouvoir… et , il était Germain.. comme 300 ans après.. Charlemagne…❤️👍… Aussi, ce qui compte pour nous.. est que même si l'on ne descend pas de Clovis…on descend … bien ?!.. d'un ou plusieurs de ses 3000 de ses soldats.. qui ont été baptisé le même jour , il y a plus de 1500 ans… Merci de lire ..et comprendre…😁🤗🇫🇷

  5. L'expression "empire byzantin" est une invention lexicale très tardive; en fait, l'empire romain avait bien été scindé en deux, mais cela a consisté simplement à constituer l'émir d'Occident d'une part, d'Orient de l'autre; de sorte qu'après la chute de l'empire d'Occident, les prétendus "byzantins" (terme inventé en fait seulement en 1857 par George Finlay et qui s'est popularisé par la suite) se considéraient et s'appelaient eux-mêmes tout simplement "Romains" – d'où dérive le nom arabe de "Rumi", "Roum" en turc –
    Quant à Attila, a-t-il eu un projet aussi précis d'expansion territoriale mondiale, comme le pense Franck Ferrand? Je n'en sais rien, et à vrai dire, quel historien peut prétendre le savoir avec certitude;
    ce que l'on peut dire, c'est que les invasions hunniques ont été les premières aussi massives de ce type de peuples nomades venus de l'Asie, ayant pris des tournures de formations territoriales organisées et plus ou moins durables quand des chefs à la fois grands stratèges militaires et capables d'unir et d'organiser ces peuples, en ont pris la tête: à cet égard, Attila a eu par la suite au moins deux "émules"aussi célèbres que lui, bien que plusieurs siècles plus tard: Gengis Khan, puis Tamerlan, ce dernier ayant infligé aux Turcs du sultan Bayezid Ier une défaite écrasante et humiliante près d'Ankara en 1402 (donc près de mille ans après la bataille des Champs Catalauniques), défaite qui, de façon bien entendu non intentionnelle, permit à l'Empire romain d'Orient, très affaibli et diminué alors, de survivre tout de même encore un demi-siècle avant la prise de Constantinople par les Turcs, en 1453.

  6. La réputation dictée par une culture parasite qui s’acharnait à profiter des peuples européens n’as pas perdus de sa m e r d i t u d e, quel debit de c o n n e r i e s en si peu de temps.
    Les romains pour la plupart mangeaient et dormaient dans leurs propres déjections, leur culture si brillante s’efforçait simplement à taxer les tribus "barbares" comme les celtes, les germains, les suaves. Vous êtes surtout un perroquet fidèle, loin d’être un historien.

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