L Histoire du Peuple Juif Partie 2 – Intéressant documentaire Arté



Notre site internet : www.TECHOUVA.ORG

Source

18 réflexions sur “L Histoire du Peuple Juif Partie 2 – Intéressant documentaire Arté”

  1. Le peuple Juif pourrait demander la restitution des trésors volés dans le temple de Jérusalem par l´empereur Titus. Avec ces trésors, il avait fait construire d´imposant batiments à Rome.

  2. Des assassins depuis des siecles malheuresent des assassins de pouvoirs est argents aucune humaniter dommage la terre est a tous les humains la religions une conneries humaine

  3. les juifs son expulsés de Bagdad. ça c'est l'heuvre de la propagande soniste. y compris cette télé.

    les juifs d'iraque son manipuler par le sionisme. afin d'immigrer vers israel. ils vivent depuis des ciécles ou il n y a personne na oser de les expiulser.
    le seule responsable du desastre migratoire de ces juifs c'est le sionisme.
    je ponce que le mouvement sioniste et un desastre pour les juifs en orions et occidents aussi.
    le sionisme à derasiner ces juifs ou ils vivent bien en armonie dans les pays mususlmans. le pire ils les déracisne de leurs culture, véstimentaire architécture etcc. le sionisme à détruit les juifs dans tous les niveaux. culturele architécture, poétique etccc..
    les juifs actuele d'israel n'on pas une vrais culture. car les diferante culture d'origine son eradiquer.
    ou n'oublian pas que le sionisme n'a rien avoir avec le judaisme. c'est une idiologie comme le wahabisme le jihadisme islamique.

  4. Une certitude en tous cas, l’hébreu

    n’est pas la langue originelle du judaïsme dont l’expres-

    sion vivante et parlée fut d’abord l’araméen, ensuite

    l’arabe : le judaïsme ayant partagé le destin culturel des

    autres rebgions égypto-babylonienne, orphique, chré-

    tienne ou islamique. Lorsque Jésus sur la croix jeta le

    grand cri « Allah, Allah, limadha sabactani », c’est en

    arabe qu’il cria ; tout Arabe en comprendra aujourd’hui

    le sens : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi t’en vas-tu le

    premier ?» ou bien « pourquoi me laisses-tu en arrière ? »

    Il n’y a rien d’hébreu là-dedans, malgré les commentai-
    res de certains érudits. Par acquit de conscience nous

    avons relevé les termes donnés comme « hébreux » par les

    exégètes chrétiens ; la plupart sont tout simplement des

    mots arabes. Si on se décidait enfin, au lieu d’aller cher-

    cher midi à quatorze heures, à réviser l’exégèse biblique

    sous l’éclairage de la langue et de la culture arabes, toute

    une scolastique artificielle s’effondrerait au bénéfice d’une

    vision vivifiée et vivifiante des Testaments. Il est anormal

    que la Révélation conçue pour la prédication et la prière

    universelle, faite pour la compréhension populaire, soit

    devenue la prisonnière de l’hébreu, écriture sacrée inven-

    tée pour une minuscule secte sacerdotale. Les juifs

    d’Orient, quant à eux, n’ayant jamais cessé de s’exprimer

    en arabe, ont su donner à la littérature, à la pensée, à la

    science arabes des représentants prestigieux. Nous avons

    dit que la première version de la Bible juive se présente

    dans un texte grec tel qu’il fut composé à Alexandrie au

    ni* siècle avant notre ère sous le règne de Ptolémée III,

    en même temps que furent collationnées les œuvres ho-

    mériques, épiques ou ésotériques que la tradition nous

    a transmises à peu près intactes. L’Egypte est donc la

    mère de l’ancien Testament ; un même esprit arabo-hellé-

    nique a présidé à l’épopée de David et d’Achille. Tout lec-

    teur attentif s’en apercevra aisément. Comme il fallait

    s’y attendre, l’indiscutable originalité du texte grec dit

    des Septante qui est la source de la tradition juive, gêne

    les hébraïsants qui s’obstinent à n’y voir que la traduc-

    tion ou l’adaptation d’une première version en langue

    hébraïque. Rien n’est venu jusqu’à ce jour confirmer une

    telle hypothèse. C’est seulement à partir du m* siècle

    après J.-C. qu’on se décida à rédiger en hébreu la Tradi-

    tion juive jusqu’alors formulée en arabo-araméen ; on

    fit appel, pour la circonstance, au syriaque tel qu’il est

    encore enseigné aujourd’hui. Quelques fragments hébraï-

    ques figurent bien sur le papyrus Nash remontant au

    i* siècle av. J.-C., mais on en discute encore et il est pro-

    bable que les signes sont du néo-phénicien. (Le texte

    hébraïque de la Bible juive ne sera fixé que fort tardive-

    ment, entre le ix* et le x* siècle de notre ère, par des sa-
    vants de l’école de Tibériade nommés Massorètes qui uti-

    lisèrent quatre sources : le texte grec des Septante, la

    Vulgate latine de Saint-Jérôme, les Targoumim en ara-

    méen et enfin les éléments syriaques.) Il y a quelques

    années beaucoup de bruit a été fait autour de la décou-

    verte des manuscrits de la mer Morte à Khirbet-Quoum-

    ràn ; nous étions alors en pleine action sioniste en Pales-

    tine, aux Nations Unies et dans l’opinion ; il y avait inté-

    rêt à chercher une justification biblique à l’entreprise

    militaire. Aussi l’opportunité de la découverte avait-elle

    paru suspecte. Consultés sur la valeur du document les

    savants avaient été fort prudents et, de toutes façons, en

    avaient daté la rédaction au h* ou m* siècle de notre ère.

    De plus, à y regarder de près l’écriture était truffée de

    signes phéniciens et araméens. Aujourd’hui les soup-

    çons se sont accentués et les manuscrits de la mer Morte

    sont considérés avec scepticisme ; ils ne sauraient modi-

    fier en rien l’opinion que se font les savants sérieux sur

    le rôle de l’hébraïsme dans l’histoire de l’Orient. Nous

    avons vu l’église romaine inventer un latin liturgique et

    évangélique destiné à sa vie intérieure et dont la sonorité

    archaïsante a été recherchée pour symboliser le décalage

    entre la société des hommes et l’expression divine. Que

    les résonances harmonieuses des psaumes en latin

    d’église ou en langue hébraïque puissent atteindre le

    cœur et réveiller des intuitions sur l’au-delà, c’est une

    certitude. Mais personne n’est jamais allé y chercher une

    documentation linguistique valable ni surtout l’origine

    ou l’aboutissement d’une culture. La beauté de ces lan-

    gues liturgiques tient précisément à leur irréalité. Leur

    valeur est d’ordre esthétique et non historique. Quant à

    la langue hébraïque moderne, elle est une invention, dic-

    tée par les circonstances à Eliezer ben Yéhouda qui pu-

    blia entre 1910 et 1922 un dictionnaire commandé par

    le Mouvement sioniste mondial et destiné à procurer une

    sorte d’espéranto aux juifs du monde appelés à émigrer

    en Palestine. Elle est donc un instrument politique.

  5. Bonjour à tout le monde,je précise que je ne suis pas juif, donc pas simple de trouver une réponse à ma question, je suis en train d'écrire un roman qui se déroule durant l'entre deux guerres ainsi que durant la seconde guerre mondiale et je cherche une information pas simple a trouver, un français chrétien pouvait-il adopter un enfant juif allemand sous vichy ? si quelqu'un a la réponse, merci par avance.

  6. Un juif sioniste est menteur ,manipulateur et méprise le goime ,la kabbale ,un ramassis de haine contre les non juif ,un jour peut-etre nous nous révolterons contre cette domination sioniste !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Panier
Retour en haut